Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
J'étais pas déguisé, je regrette énormément
Mais l'année prochaine
Mais l'année prochaine
Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Compte-rendu de mon petit séjour à Sitges, ici: http://www.clap.ch/reportagespage.php?id=215
J'y parle notamment de Dead Bones, de 20th Century Boys, de Ponyo et de la Zombie Walk
J'y parle notamment de Dead Bones, de 20th Century Boys, de Ponyo et de la Zombie Walk
- Kalel
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Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Le truc marrant, ça aurait été de prendre une caisse et de les fauchers vraiment, histoire de voir si ils se relèvent ou pas.
"THIS IS IT"
Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Très belles ces photos.
Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
C'est criminel de rater cette expo si on est Parisien/banlieusard/de passage. Pablo est bien le plus grand peintre de l'Histoire (et Les Ménines de Velazquez est bien le plus formidable tableau de l'Histoire) et naviguer entre les divers thèmes propres à chaque salle est passionnant. Des salles, il doit y en avoir 6 ou 7 et je regrette d'avoir passé la première un peu trop rapidement (pour m'éloigner de la foule). J'ai multiplié les allers retours entre l'endroit où étaient accrochées quelques unes de ses Ménines et sa formidable version des Demoiselles Au Bord De La Seine, j'ai rapidement passé ses natures mortes (influence Cézanne et Gauguin, jamais été fan des natures mortes, du vite vu donc). En tout, 2h30 et j'aurai aimé rester le double mais j'avais rendez vous. Il y a énormément de monde, il vaut mieux se réserver un billet coupe file, c'est un investissement qu'on ne regrette pas. Un petit bémol pour les textes introductifs de chaque salle, écrits de façon assez pompeuse, en tout cas pas à la portée de tous les publics et c'est bien dommage. Je pense que ça vaut le coup de se prendre un de ses boitiers audio qui délivre les explications pour chaque oeuvre, ou alors un peu de documentation. J'en avais lu un petit peu la semaine précédente mais une fois arrivé, c'était plus "plaisir des sens" qu'autre chose.
"A leur âge je dessinais comme Raphaël, il m'aura fallu toute une vie pour apprendre à dessiner comme les enfants".
Brave comme les lions de l'Atlas, il vit un rêve glorieux.
Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Ah oui, ces Ménines, c'est quelque chose...
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Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Une dernière salve de photos Zombie Walk
Elles ont été prises dans une optique "dénonciation de la société de consommation" en plaçant des zombies devant des enseignes
http://www.flickr.com/photos/cyrilcaval ... 516829059/
Elles ont été prises dans une optique "dénonciation de la société de consommation" en plaçant des zombies devant des enseignes
http://www.flickr.com/photos/cyrilcaval ... 516829059/
Re: Festival, dédicaces, rencontres, spectacles, concerts...
Le Festival Comics de Lille :
Salle mal aménagée, pas de rambardes pour délimiter les files d'attente pour les dédicaces, du coup grosse gruge bien grasse notamment pour Frazer Irving (en fait pratiquement tous les autres aussi), le seul auteur que je voulais voir. Résultat TROIS PUTAINS D'HEURES pour avoir un dessin, je devenais fou. Surtout que j'avais amené un très bon pote lillois, qui a stoïquement supporté l'attente et m'a même forcé à rester jusqu'au bout pour avoir le dessin. Un goût d'autant plus amer dans la bouche que je n'ai pas l'esprit "chasseur de dédicaces", Irving était à la base mon troisième choix mais comme les deux premiers s'étaient désistés... Dans la file je parlais vaguement avec un couple ou des gens que j'ai identifié comme membres du forum panini (moi je ne me suis pas présenté, après avoir passé 3 h debout sans avancer, je ne pouvais pas supporter une IRL ou même quelque chose de relié aux comics). L'occasion aussi de voir toute la population geek s'affairer dans la grande salle, un point de plus qui m'incitait à fuir ce lieu. Les festivals ne sont pas fait pour moi, je préfère cent fois les rencontres avec les auteurs dans un cadre plus sympa et moins foire à dédicaces.
Bon à 17h et quelques, j'accède enfin à la table d'Irving. Un garçon adorable, très drôle et souriant. Et même si il est resté dynamique tout du long, on sentait la fatigue s'accumuler à mesure qu'il dessinait. Il m'a dit qu'il n'avait pas l'habitude de ce genre de cadences dans les conventions anglaises, on a bien rigolé sur les spéculateurs et les fans de Jim Lee et puis comme je le voyais fatigué, je lui ai demandé de me dessiner ce qu'il voulait. Il a fait un grand sourire et il m'a réalisé un portrait du Joker (il en avait fait plusieurs avant, il précisait à chaque personne qu'il ne pouvait dessiner que des personnages sur lesquels il avait déja travaillé). Je vous le scannerai dès que j'en aurai l'occasion.
Je reviendrais à Lille dès que possible parce que c'est une ville formidable, avec des kebabs classes et chaleureux, une architecture remarquable et des milliards d'endroits où s'empiffrer. Mais le Lille Comics Festival, faudra un miracle pour que j'y remette les pieds.
Salle mal aménagée, pas de rambardes pour délimiter les files d'attente pour les dédicaces, du coup grosse gruge bien grasse notamment pour Frazer Irving (en fait pratiquement tous les autres aussi), le seul auteur que je voulais voir. Résultat TROIS PUTAINS D'HEURES pour avoir un dessin, je devenais fou. Surtout que j'avais amené un très bon pote lillois, qui a stoïquement supporté l'attente et m'a même forcé à rester jusqu'au bout pour avoir le dessin. Un goût d'autant plus amer dans la bouche que je n'ai pas l'esprit "chasseur de dédicaces", Irving était à la base mon troisième choix mais comme les deux premiers s'étaient désistés... Dans la file je parlais vaguement avec un couple ou des gens que j'ai identifié comme membres du forum panini (moi je ne me suis pas présenté, après avoir passé 3 h debout sans avancer, je ne pouvais pas supporter une IRL ou même quelque chose de relié aux comics). L'occasion aussi de voir toute la population geek s'affairer dans la grande salle, un point de plus qui m'incitait à fuir ce lieu. Les festivals ne sont pas fait pour moi, je préfère cent fois les rencontres avec les auteurs dans un cadre plus sympa et moins foire à dédicaces.
Bon à 17h et quelques, j'accède enfin à la table d'Irving. Un garçon adorable, très drôle et souriant. Et même si il est resté dynamique tout du long, on sentait la fatigue s'accumuler à mesure qu'il dessinait. Il m'a dit qu'il n'avait pas l'habitude de ce genre de cadences dans les conventions anglaises, on a bien rigolé sur les spéculateurs et les fans de Jim Lee et puis comme je le voyais fatigué, je lui ai demandé de me dessiner ce qu'il voulait. Il a fait un grand sourire et il m'a réalisé un portrait du Joker (il en avait fait plusieurs avant, il précisait à chaque personne qu'il ne pouvait dessiner que des personnages sur lesquels il avait déja travaillé). Je vous le scannerai dès que j'en aurai l'occasion.
Je reviendrais à Lille dès que possible parce que c'est une ville formidable, avec des kebabs classes et chaleureux, une architecture remarquable et des milliards d'endroits où s'empiffrer. Mais le Lille Comics Festival, faudra un miracle pour que j'y remette les pieds.
Brave comme les lions de l'Atlas, il vit un rêve glorieux.