Re: Découvertes ( Technologie et divers )
Posté : jeu. janv. 15, 2009 4:27 pm
Un Hacker prouve l'existence d'extra terrestres
Gary McKinnon, né à Glasgow en 1966, également connu sous le nom Solo, est un hacker britannique accusé par les États-Unis d'avoir réussi le « plus grand piratage informatique militaire de tous les temps »
Cet administrateur système de 42 ans, au chômage, est accusé d'avoir pénétré dans 97 ordinateurs des États-Unis appartenant à l'armée et à la NASA, en 2001 et 2002. Les réseaux informatiques américains qu'on l'accuse d'avoir pénétrés appartenaient à la NASA, à l'armée, à la marine, au Ministère de la Défense,à l'armée de l'air, ainsi qu'au Pentagone.
Les États-Unis estiment que les dépenses nécessaires pour le retrouver et corriger les problèmes dont on le croit responsable se montent à environ 900 000 USD.
McKinnon a protesté qu'il cherchait seulement à établir l'existence des OVNIS et a dit être absolument certain que les Américains ont réussi à récupérer une technologie antigravité extra-terrestre.
L'article a lire:
" En juin 2005, le citoyen britannique Gary McKinnon est arrêté pour avoir commis « le plus grand piratage militaire informatique de tous les temps. » Passionné d’ufologie, ce hacker de génie a piraté les ordinateurs du Pentagone, de la Nasa, du Johnson Space Center et de la Navy. Aujourd’hui extradé vers les Etats-Unis, il risque jusqu’à 70 ans de prison et 1,75 millions de dollars d’amende. Né à Glasgow, en Écosse, en 1966, McKinnon a six ans lorsque ses parents se séparent. Il grandit à Londres auprès de sa mère et son beau- père, amateur d’ovnis. «Il était de Falkirk, et juste à côté de Falkirk, se trouve un lieu appelé Bonnybridge, capitale mondiale des ovnis. À l’époque où mon beau-père vivait là-bas, il avait rêvé qu’il se promenait aux alentours de Bonnybridge, et qu’il y voyait d’énormes vaisseaux, Il m’a raconté ce rêve qui a éveillé ma curiosité. C’était un grand amateur de science-fiction. Comme il était mon deuxième père, moi aussi je me suis mis à lire cette littérature, et à l’imiter dans tout ce qu’il faisait...»
À 15 ans, Gary s’inscrit à l’Association britannique de recherches sur les ovnis (BUFORA). Deux ans plus tard, il voit au cinéma War Games, thriller racontant comment un jeune passionné d’informatique se branche sur un ordinateur secret de l’armée américaine. «Je me suis demandé si c’était possible, et si ça pouvait être aussi simple », raconte-t-il.
C’est ainsi qu’en 1995, il démarre ses activités de hacker. Il cherche et trouve, à plusieurs reprises, des administrateurs de réseau haut placés au sein du gouvernement américain et dans les institutions militaires qui n’ont pas pris la peine de protéger leurs systèmes par un mot de passe. Ça commence comme ça. Il s’entraîne en pénétrant à l’intérieur du réseau de l’université d’Oxford, par exemple, et peu à peu, se prend au jeu.
Quand on lui demande s’il se considère brillant, il répond que non, qu’il n’est qu’un technicien informatique, autodidacte, plutôt ordinaire, Il ajoute même qu’il est loin d’être seul dans son cas: «Une fois que vous êtes sur le réseau, il vous suffit d’activer une commande appelée NetStat - Statut de réseau (Network Status) - qui vous donne la liste des personnes connectées à cette machine. Il y avait des hackers du Danemark, d’Italie, d’Allemagne, de Turquie et de Thaïlande. »
Et les extraterrestres dans tout ça, existent-ils ? Selon McKinnon, aucun doute : «J’ai trouvé une liste de noms d’officiels sous la rubrique “Officiels non-terrestres”, explique-t-il. Cela ne veut pas dire qu’il s’agisse pour autant de “petits hommes verts”. En fait, je crois qu’on a affaire à des personnes “non basées sur Terre”. J’ai trouvé une liste de “transferts d’une flotte à l’autre”, ainsi qu’une liste de noms de vaisseaux. J’ai fait une recherche sur ces noms. Ils n’appartenaient pas à la marine américaine. Cela m’a plutôt fait penser à une sorte de vaisseau spatial, situé en dehors de notre planète. Il y avait aussi un groupe appelé The Disclosure Project [Projet Révélation]. Ses membres ont publié un livre dans lequel témoignent quatre cents experts — aiguilleurs du ciel civils, opérateurs de radars militaires, personnes responsables de déclencher ou non le lancement de missiles nucléaires. Toutes ces personnes très crédibles et très fiables nous disent: “Oui, il y a bien une technologie propre aux ovnis, une anti-gravité, l’énergie libre existe, tout cela est d’origine extraterrestre, et nous avons capturé certains de leurs appareils à partir desquels nous avons fait du génie inverse. “
Un scientifique de la NASA aurait rap porté l’existence, dans le bâtiment 8 du Centre spatial Johnson, de services chargés d’effacer les images d’ovnis, par retouche, sur les clichés haute résolution pris par satellite. D’où, sur certains dossiers, la mention « filtrés », ou « non filtrés », « traités » ou «vierges »... «Un jour, raconte Gary, j’ai sorti une photo d’un dossier, et, comme je me servais d’une connexion Internet de 56 k, donc très lente, j’ai baissé le niveau de couleurs de l’image à quatre teintes, à l’aide d’un programme de contrôle à distance; j’ai aussi baissé le niveau de résolution au maximum, et malgré ça, l’image tremblotait à l’écran. Mais ce que j’ai vu à ce moment-là a récompensé tous mes efforts: c’était l’image d’un objet qui n’avait clairement pas été fabriqué par main d’homme, Il était situé au-dessus de l’hémisphère terrestre, Il ressemblait un peu à un satellite, mais semblait n’avoir été fabriqué par aucun moyen connu: il n’y avait aucun rivet, aucune soudure. C’était comme un continuum de matière sans la moindre faille. Il était en forme de cigare et des dômes géodésiques l’entouraient, au-dessus, en dessous, à gauche, à droite et aux deux extrémités, et bien que ce ne soit qu’une image basse résolution, la photo avait été prise d’assez près. Au-dessus de la Terre, l’objet paraissait suspendu.»
Après les événements du 11 septembre 2001, Gary McKinnon s’intéresse à la thèse du complot: « Pourquoi l’édifice s’est-il effondré comme s’il y avait eu une série d’explosions contrôlées ? j’ai horreur des théories conspirationnistes, j’ai donc décidé de trouver la réponse par moi-même.» Par souris interposée, bien sûr. Mais le vent tourne pour Gary le hacker. Un jour, par mégarde, il appuie sur le mauvais bouton. Résultat : des fichiers gouvernementaux effacés et une mise en accusation du ministère de la justice. «Je commençais à être un peu brouillon, reconnaît Gary McKinnon, et chose que je n’aurais jamais crue, j’ai fini par devenir mégalo... j’ai commencé à parler aux personnes que je piratais, à leur écrire par messagerie des petites diatribes politiques... » Acte manqué fatal, McKinnon utilise sa propre adresse email pour télécharger un programme administratif d’accès à distance...
« Dieu seul sait pourquoi j’ai utilisé ma véritable adresse email. Je ne suis définitivement pas un hacker du genre cachottier, méticuleux, qui vérifie chaque étape et ses procédures. » Pas cachottier, et même bavard, le hacker déchu laisse entendre qu’il a encore beaucoup de choses à dire : «je ne peux pas en parler, ce n’est pas le moment. Le 10 mai 2006, le juge fédéral britannique décide que McKinnon doit être extradé vers les États-Unis afin d’être jugé pour piratage de systèmes et réseaux informatiques sensibles. Les amis et défenseurs de Gary McKinnon craignent qu’il ne bénéficie pas d’un procès équitable aux États- Unis. Un blog est mis en place pour soutenir la campagne visant à obtenir que McKinnon soit jugé au Royaume-Uni. Mais en juillet 2006, son extradition est officialisée. « Je suis triste, mon senti ment actuel est d’être abandonné par mon propre gouvernement e, a-t-il déclaré à l’annonce de la décision. Affaire à suivre... "
source: yahoo, google et ovni007
Gary McKinnon, né à Glasgow en 1966, également connu sous le nom Solo, est un hacker britannique accusé par les États-Unis d'avoir réussi le « plus grand piratage informatique militaire de tous les temps »
Cet administrateur système de 42 ans, au chômage, est accusé d'avoir pénétré dans 97 ordinateurs des États-Unis appartenant à l'armée et à la NASA, en 2001 et 2002. Les réseaux informatiques américains qu'on l'accuse d'avoir pénétrés appartenaient à la NASA, à l'armée, à la marine, au Ministère de la Défense,à l'armée de l'air, ainsi qu'au Pentagone.
Les États-Unis estiment que les dépenses nécessaires pour le retrouver et corriger les problèmes dont on le croit responsable se montent à environ 900 000 USD.
McKinnon a protesté qu'il cherchait seulement à établir l'existence des OVNIS et a dit être absolument certain que les Américains ont réussi à récupérer une technologie antigravité extra-terrestre.
L'article a lire:
" En juin 2005, le citoyen britannique Gary McKinnon est arrêté pour avoir commis « le plus grand piratage militaire informatique de tous les temps. » Passionné d’ufologie, ce hacker de génie a piraté les ordinateurs du Pentagone, de la Nasa, du Johnson Space Center et de la Navy. Aujourd’hui extradé vers les Etats-Unis, il risque jusqu’à 70 ans de prison et 1,75 millions de dollars d’amende. Né à Glasgow, en Écosse, en 1966, McKinnon a six ans lorsque ses parents se séparent. Il grandit à Londres auprès de sa mère et son beau- père, amateur d’ovnis. «Il était de Falkirk, et juste à côté de Falkirk, se trouve un lieu appelé Bonnybridge, capitale mondiale des ovnis. À l’époque où mon beau-père vivait là-bas, il avait rêvé qu’il se promenait aux alentours de Bonnybridge, et qu’il y voyait d’énormes vaisseaux, Il m’a raconté ce rêve qui a éveillé ma curiosité. C’était un grand amateur de science-fiction. Comme il était mon deuxième père, moi aussi je me suis mis à lire cette littérature, et à l’imiter dans tout ce qu’il faisait...»
À 15 ans, Gary s’inscrit à l’Association britannique de recherches sur les ovnis (BUFORA). Deux ans plus tard, il voit au cinéma War Games, thriller racontant comment un jeune passionné d’informatique se branche sur un ordinateur secret de l’armée américaine. «Je me suis demandé si c’était possible, et si ça pouvait être aussi simple », raconte-t-il.
C’est ainsi qu’en 1995, il démarre ses activités de hacker. Il cherche et trouve, à plusieurs reprises, des administrateurs de réseau haut placés au sein du gouvernement américain et dans les institutions militaires qui n’ont pas pris la peine de protéger leurs systèmes par un mot de passe. Ça commence comme ça. Il s’entraîne en pénétrant à l’intérieur du réseau de l’université d’Oxford, par exemple, et peu à peu, se prend au jeu.
Quand on lui demande s’il se considère brillant, il répond que non, qu’il n’est qu’un technicien informatique, autodidacte, plutôt ordinaire, Il ajoute même qu’il est loin d’être seul dans son cas: «Une fois que vous êtes sur le réseau, il vous suffit d’activer une commande appelée NetStat - Statut de réseau (Network Status) - qui vous donne la liste des personnes connectées à cette machine. Il y avait des hackers du Danemark, d’Italie, d’Allemagne, de Turquie et de Thaïlande. »
Et les extraterrestres dans tout ça, existent-ils ? Selon McKinnon, aucun doute : «J’ai trouvé une liste de noms d’officiels sous la rubrique “Officiels non-terrestres”, explique-t-il. Cela ne veut pas dire qu’il s’agisse pour autant de “petits hommes verts”. En fait, je crois qu’on a affaire à des personnes “non basées sur Terre”. J’ai trouvé une liste de “transferts d’une flotte à l’autre”, ainsi qu’une liste de noms de vaisseaux. J’ai fait une recherche sur ces noms. Ils n’appartenaient pas à la marine américaine. Cela m’a plutôt fait penser à une sorte de vaisseau spatial, situé en dehors de notre planète. Il y avait aussi un groupe appelé The Disclosure Project [Projet Révélation]. Ses membres ont publié un livre dans lequel témoignent quatre cents experts — aiguilleurs du ciel civils, opérateurs de radars militaires, personnes responsables de déclencher ou non le lancement de missiles nucléaires. Toutes ces personnes très crédibles et très fiables nous disent: “Oui, il y a bien une technologie propre aux ovnis, une anti-gravité, l’énergie libre existe, tout cela est d’origine extraterrestre, et nous avons capturé certains de leurs appareils à partir desquels nous avons fait du génie inverse. “
Un scientifique de la NASA aurait rap porté l’existence, dans le bâtiment 8 du Centre spatial Johnson, de services chargés d’effacer les images d’ovnis, par retouche, sur les clichés haute résolution pris par satellite. D’où, sur certains dossiers, la mention « filtrés », ou « non filtrés », « traités » ou «vierges »... «Un jour, raconte Gary, j’ai sorti une photo d’un dossier, et, comme je me servais d’une connexion Internet de 56 k, donc très lente, j’ai baissé le niveau de couleurs de l’image à quatre teintes, à l’aide d’un programme de contrôle à distance; j’ai aussi baissé le niveau de résolution au maximum, et malgré ça, l’image tremblotait à l’écran. Mais ce que j’ai vu à ce moment-là a récompensé tous mes efforts: c’était l’image d’un objet qui n’avait clairement pas été fabriqué par main d’homme, Il était situé au-dessus de l’hémisphère terrestre, Il ressemblait un peu à un satellite, mais semblait n’avoir été fabriqué par aucun moyen connu: il n’y avait aucun rivet, aucune soudure. C’était comme un continuum de matière sans la moindre faille. Il était en forme de cigare et des dômes géodésiques l’entouraient, au-dessus, en dessous, à gauche, à droite et aux deux extrémités, et bien que ce ne soit qu’une image basse résolution, la photo avait été prise d’assez près. Au-dessus de la Terre, l’objet paraissait suspendu.»
Après les événements du 11 septembre 2001, Gary McKinnon s’intéresse à la thèse du complot: « Pourquoi l’édifice s’est-il effondré comme s’il y avait eu une série d’explosions contrôlées ? j’ai horreur des théories conspirationnistes, j’ai donc décidé de trouver la réponse par moi-même.» Par souris interposée, bien sûr. Mais le vent tourne pour Gary le hacker. Un jour, par mégarde, il appuie sur le mauvais bouton. Résultat : des fichiers gouvernementaux effacés et une mise en accusation du ministère de la justice. «Je commençais à être un peu brouillon, reconnaît Gary McKinnon, et chose que je n’aurais jamais crue, j’ai fini par devenir mégalo... j’ai commencé à parler aux personnes que je piratais, à leur écrire par messagerie des petites diatribes politiques... » Acte manqué fatal, McKinnon utilise sa propre adresse email pour télécharger un programme administratif d’accès à distance...
« Dieu seul sait pourquoi j’ai utilisé ma véritable adresse email. Je ne suis définitivement pas un hacker du genre cachottier, méticuleux, qui vérifie chaque étape et ses procédures. » Pas cachottier, et même bavard, le hacker déchu laisse entendre qu’il a encore beaucoup de choses à dire : «je ne peux pas en parler, ce n’est pas le moment. Le 10 mai 2006, le juge fédéral britannique décide que McKinnon doit être extradé vers les États-Unis afin d’être jugé pour piratage de systèmes et réseaux informatiques sensibles. Les amis et défenseurs de Gary McKinnon craignent qu’il ne bénéficie pas d’un procès équitable aux États- Unis. Un blog est mis en place pour soutenir la campagne visant à obtenir que McKinnon soit jugé au Royaume-Uni. Mais en juillet 2006, son extradition est officialisée. « Je suis triste, mon senti ment actuel est d’être abandonné par mon propre gouvernement e, a-t-il déclaré à l’annonce de la décision. Affaire à suivre... "
source: yahoo, google et ovni007