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[The_Geek]

Tempête de Boulettes Géantes de Phil Lord et Christopher Miller (2008)
Alors là, si on m'avait dit que ce qui semblait être un film d'animation contre la mal bouffe façon Nos Voisins les Hommes était une pure avalanche de gags totalement fous, je n'y aurais pas cru. Et pourtant, ce Tempête de Boulettes Géantes est une vraie cascade de délires en tout genre, assumant son concept jusqu'au bout et servi par un humour totalement burlesque et déjantée servi par une mise en scène soignée et proposant quelques séquences énormes, dont des plans séquences assez fous. Ajoutez y une énorme poignée de clins d'œil bien amenés, une bonne humeur générale et mélangez, vous obtenez alors une comédie supra fun et inattendue au tournant. Pour le coup, j'aurais bien aimé le voir en 3D.

+1000, j'ai adoré ce dessin animé, pour le coup Sony pictures s'est lâché, ça doit bien rendre en bluray...

[Luciole]

+1000, j'ai adoré ce dessin animé, pour le coup Sony pictures s'est lâché, ça doit bien rendre en bluray...

Je ne répèterai jamais assez ma propagande, mais ils ont aussi fait les rois de la glisse qui est lui aussi un petit phénomène.

[cloneweb]

Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton
Chouette réécriture de Lewis Caroll, avec une fin un peu classique. J'y reviendrai mais c'est un bon moment
7/10

[Xidius]

Le Temps de l'Innocence de Martin Scorsese (1993)
Scorsese ne touche pas seulement au monde des gangsters ou des fous, il sait aussi faire de la comédie dramatique et romantique comme le prouve ce Temps de l'Innocence dans lequel on suit l'histoire d'un homme tiraillé entre sa fiancé et une connaissance de jeunesse dans la haute société New Yorkaise du XIXème siècle. Place aux grands sentiments, à la passion et aux non dits donc, dans un film intégralement porté par un Daniel Day Lewis magistral (pléonasme) une fois de plus, qui parvient à faire peser sur son personnage tout le drame et la tristesse de sa vie, le rendant bouleversant.
Si le déroulement du scénario se révèle ultra classique et que la réalisation, quand bien même c'est très joli, se montre bonne sans briller, Scorsese porte un héros fabuleux et le rend proche du spectateur pour mieux interroger celui çi sur la question de notre bonheur personnel et de notre "devoir" imposé par la société et les bonnes mœurs.
Un film classique donc, mais un beau film.

[cloneweb]

Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton
Chouette réécriture de Lewis Caroll, avec une fin un peu classique. J'y reviendrai mais c'est un bon moment
7/10

Critique détaillée en ligne

[loval]

Le Nouveau Testament de Sacha Guitry (1936)

Cinématographiquement, c'est pauvre (on dirait un vulgaire théâtre filmé). Par contre c'est très drôle, notamment par son aspect décalé, mais aussi pour les répliques et situations très comiques. Mais ouais, on sent trop l'influence du théâtre...

[The_Geek]

Aliens Versus Predator Requiem
C'est de la bouse. On voit rien du début à la fin tellement l'image a été bidouillée, le montage est épileptique et les faux raccords sont en masse. Les acteurs sont mauvais, les réalisateurs sont mauvais, le scénario est mauvais (franchement, des répliques du genre "Y'a des gens qui meurent!" :facepalm: ). Grosse grosse déception. Je n'ai qu'un seul espoir c'est que le reboot/remake de Predator ne massacre pas encore plus la licence...

[Xidius]

Taxi Driver de Martin Scorsese (1976)
Parcours d'un homme tentant avec difficulté de s'intégrer dans une société qu'il ne comprend plus suite à son retour du vietnam, l'un des films cultes du réalisateur américain se révèle à la hauteur de sa réputation. Cet essor de violence est raccord avec la montée crescendo des difficultés d'un DeNiro parfait dans son rôle et dont l'histoire surprenante se déroule sans temps mort, grâce à un rythme parfaitement maitrisé et amenant chaque élément perturbateur au bon moment, la structure du scénario étant très bien orchestrée. La preuve en est avec les 15 premières minutes du film, un exemple magistral d'immersion dans l'atmosphère de la ville de New York et dans lesquelles on s'identifie immédiatement au héros et à son train train.
Ajoutons à cela une bande son qui bute, une galerie de seconds rôles qui assurent et une mise en scène reflétant parfaitement les dérives du monde contemporain et on obtient un film passionnant, passant à la vitesse de la lumière et qui surtout, a bien mérité sa Palme d'Or à l'époque.

[Luciole]

Liberté

Le film est beau. Il aborde un aspect de la seconde guerre mondiale moins connu, personnellement je n'étais pas au courant de la persécution des "nomades" durant le conflit. L'ambiance un peu loufoque, due à certains membres de la famille ( ), m'a un peu troublé à cause de l'immense contraste qu'elle provoque avec la guerre. Mais ça reste très sympathique et je vous le conseille à l'occasion.

Et Marc Lavoine is da man enfin...

[Basile]

"Tony Scott chie sur The Taking of Pelham 123" par Tony Scott :

Ok alors c'est bien simple, c'est une horreur, bourrée de tics absolument hideux (du slo-mo tellement abject qu'il ferait vomir Snyder, de la course poursuite montée comme du Bay sous lexomil) dont le coup de google map de Crank 2 O_______o

Denzel Washington et John Travolta sont deux drames ambulants, je parle même pas des mouvements de caméra pendant les échanges radio, ni de l'erreur de continuité spectaculaire (un flingue qui change de modèle et de calibre entre les mains de Washington).

Un massacre en règle d'un petit bijou, Scott je n'ai décidément plus aucun amour pour toi.

[Arkaron]

Question: tu savais avant de le voir que ça allait t'agacer. Pourquoi tu l'as regardé?

[Basile]

Quand je suis rentré hier soir chez moi vers 23h, j'ai trouvé mes colocs et des potes devant la télé, ils venaient de le lancer. Bon ce fut l'occasion de montrer l'étendue de mes talents de redneck amateur de flingues à un pote qui soutenait mordicus que c'était "le même pistolet, t'es fou toi".

[Pixelle]

Liberté (with Luciole)

Pas grand chose à rajouter par rapport à Luciole. Ce film est un petit bijou.
On se retrouve en france en 1942 à suivre une famille de nomades à laquelle on s'attache et pendant 1h51, on oublie notre vie et on a envie de danser sur des musiques Tsiganes, de faire du cheval et de manger des racines (?).
Thiérrée est comme à son habitude excellent, on le découvre en bohémien déjanté qui crie, saute partout, se roule par terre, joue de la musique mais qui se sent en fait assez seul.. ; Lavoine fait ses preuves au cinéma (on s'apperçoit aussi qu'il ne sait pas mimer la douleur mais qu'il sait très bien se mettre en colère ).

Un bon petit film donc, à voir pour se donner la pêche, même si le sujet abordé est dramatique.

[Xidius]

Les Nerfs à Vif de Martin Scorsese (1991)
Un homme sortant de prison après 15 ans de peine se met à harceler son avocat de l'époque... Remake d'un film de 1961, ce Scorsese qui voit la 7ème collaboration entre le réalisateur et DeNiro constitue une déception. On y trouve une mise en scène jouant avec les codes du thriller paranoïaque de façon plutôt efficace et n'hésitant pas par moment à user d'un montage frénétique et d'axes de caméras torturés mais l'ensemble est plombé par un rythme par moment calamiteux et par une fin lllllloooooooonnnnnnngggggggguuuuuuueeeeeeeee qui en rajoute des caisses et des caisses dans l'énième retournement de situation vaseux. Malgré de bons acteurs et quelques bonnes scènes (ainsi qu'un superbe générique une fois de plus signé Saul Bass en hommage à celui de Seconds de John Frankenheimer), ça reste donc un film étrange et globalement raté.

Mean Streets de Martin Scorsese (1973)
Là par contre, grande classe. Suivant le parcours d'un groupe d'amis vivant à New York et magouillant comme ils peuvent pour se faire une place, on croirait presque être dans un docu-fiction sur la petite mafia urbaine de l'époque tant on est proche des personnages (DeNiro et Keitel déchirent) et tant la fabrication de l'ensemble se veut réaliste. On s'emmerde pas une seule seconde, tout est d'une crédibilité et d'une cohérence folle et ça joue super bien...
Et pardonnez moi mais PUTAIN, cette scène dans le bar sur Jumpin' Jack Flash, c'est ce que j'appelle la classe COSMIQUE!

[Basile]

16 Blocks de Richard Donner :

Pas déshonorable mais pas inoubliable. Mos Def m'énerve à toujours jouer de la même façon.

The Siege de Edward Zick (1998) :

Denzel Washington must die. Aussitôt vu, aussitôt oublié.

Blade 1 de Stephen Norrington :

Ceeeeertes certains SFX ont vieilli, ceeertes le film prend un peu trop de temps à explorer sa mythologie au détriment des scènes d'action mais bon quand même, c'est bien huilé et ça chie. Wesley Snipes reste stratosphèrique.

Ultraviolet :

Arrêté au bout de 15 minutes, les rétines complètement chibrées.