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[cloneweb]

Et puis, t'as bien aimé Blade Trinity alors hein ?

Complétement. Mais c'est un vrai film avec Jessica Biel dedans. Pas un direct-to-DVD.

[loval]

Et puis, t'as bien aimé Blade Trinity alors hein ?

Complétement.

Tu es fou.
Ça doit être le chihuahua vampirique

[cloneweb]

Valkyrie
Film carré, nickel. Les acteurs sont parfait, la mise en scène hyper soignée, la musique très bien.
Y a un vrai suspens dans la première partie du film. On connait la fin, mais on se demande surtout quand ça va foirer, quand ils vont se faire prendre, qu'est ce qui va clocher dans le plan. C'est vraiment prenant.
La deuxième partie, et la fin, sont plus brouillonnes mais c'est bien entendu lié au fait que ça soit une histoire vraie.

7,5/10

NB : J'ajoute qu'il y a une mini-scène au début pour justifier le fait que tout soit en anglais.

[Sylvebarbe]

Valkyrie
Film carré, nickel. Les acteurs sont parfait, la mise en scène hyper soignée, la musique très bien.
Y a un vrai suspens dans la première partie du film. On connait la fin, mais on se demande surtout quand ça va foirer, quand ils vont se faire prendre, qu'est ce qui va clocher dans le plan. C'est vraiment prenant.
La deuxième partie, et la fin, sont plus brouillonnes mais c'est bien entendu lié au fait que ça soit une histoire vraie.

7,5/10

NB : J'ajoute qu'il y a une mini-scène au début pour justifier le fait que tout soit en anglais.

Beh un peu comme Octobre Rouge où le 13ème Guerrier cette scène.

Sinon, bien aimé aussi, rien à redire de l'avis de Clone, sauf que c'est peut être un peu froid pour emporter complètement l'adhésion et Carice Van Houten, on se demande ce qu'elle fait là dedans. K. Branagh n'a pas un grand rôle non plus, c'est réalisé assez sobrement ce qui est étonnant avec les films actuels.

[Xidius]

Bryan Singer prouve une fois de plus que c'est un réalisateur rare certes mais sur lequel on peut compter

[cloneweb]

Carice Van Houten et Brannagh sont juste des personnages historiques qu'il fallait caser, même si ça ne sert un peu à rien.

[Luciole]

La mini scène, c'est en Afrique ?
En tout cas moi aussi j'ai vraiment aimé. Cruise ne passe pas pour une superstar hollywoodienne mais surtout comme un très bon acteur, ce que j'ai apprécié. Le film est assez bien montée, c'est un thriller prenant même si malheureusement on connait à l'avance son dénouement. D'ailleurs j'éprouvais le même sentiment que lors de mon visionage en salle de star wars episode III.
Un film à aller voir. Cela m'a permis d'en savoir plus sur l'opération Walkyrie (puisque certains de mes potes la connaissaient par cœur, ces petits nerds)

Edit: Je me demande si y a des trucs qui sont pas rajoutés notamment:

Le fait que le n°2 se mette devant Claus pour mourir avant lui. Ou bien même que Claus Hurle:
-"Gloire à notre Allemagne sacrée" même si c'est vraiment classe

[Bigorneau]

Moi aussi je suis allé le voir, et je me suis laisser prendre par le film, qui est très bien foutu.
Tom Cruise livre une performance qu'on avait pas vu depuis longtemps. La musique est très belle
Et puis, même si on connait la fin, l'intérêt du film réside dans le suspense autour de "comment on arrive à la fin ?". (Luciole cite Star Wars III, c'est exactement pareil.)
Le film explore un passage de l'histoire peu connu, et pourtant très intéressant.

PS : j'ai été surpris de voir le nombre de tentatives d'assassinats contre Hitler.

[Xidius]

Choke, de Clark Gregg
Adapté du bouquin éponyme de Chuck Palahniuk (auteur de Fight Club notamment), Choke raconte l'histoire de Victor Mancini, sexoolique qui passe ses soirées au restaurant pour s'étouffer devant des salles comblées, attendant qu'on le sauve pour ensuite avoir des chèques de tous ses prétendus sauveurs...Le tout pour financer l'hosto d'une mère complètement folle !
Si le bouquin offre son lot de scènes et de répliques croustillantes et déjantées, le film fait cependant peine à voir. Malgré la bonne interprétation de Sam Rockwell, le film ne fait qu'adapter le bouquin avec une mise en scène lambda qui n'est jamais au service de l'histoire et des seconds rôles peu crédibles. Alors certes, l'histoire de base est bien, mais à trop vouloir se reposer dessus, le réalisateur offre un film bancal, un rien emmerdant et qui n'est jamais à la hauteur du roman. Ce qui est bien dommage...

[Basile]

Indiana Jones et les aventuriers de l'Arche perdue : (en vo parce que bon)

C'te bagarre dans le marché...

Et puis Marion. Mariooooooooooooooooooooon !!! (brune à tâches de rousseur, moi je craque).

[loval]

The Curious Case of Benjamin Button de David Fincher

Adapté d'une nouvelle écrite par F. Scott Fitzgerald dans les années 20, le nouveau film de David Fincher, l'excellent réalisateur de Alien3, Fight Club et, plus récemment, Zodiac, nous faisait languir depuis maintenant bien des mois. Et l'on peut dire que notre brave attente fut récompensée.

The Curious Case of Benjamin Button. Un titre aussi farfelu que l'est le pitch, à savoir celui d'un bébé, Benjamin, né à la fin de la Première Guerre mondiale, qui vient au monde avec le corps d'un vieillard sur le point de mourir et qui, à la surprise de tout le monde, rajeunit. Dès les premières images, l'immersive teinte du film impressionne par sa beauté et par la mélancolie qui s'en dégage. La toute première partie du long-métrage à l'hôpital, et qui reviendra par intermittence tout au long du récit, témoigne fortement des tragiques évènements personnels que vécut le réalisateur (à la manière de Big Fish de Tim Burton, film-testament), dont le récent décès de son père hante chaque image. Cependant, ces passages hautement dramatiques ne s'avèrent finalement que peu nécessaires à l'ensemble de l'histoire de Benjamin Button, soulignant ainsi l'évidente volonté de Fincher à vouloir à tout prix délaisser un message post-mortem à son paternel.

Ceci dit, Fincher crée rapidement une ambiance, un univers crédible, dans lequel nous suivons Benjamin dans son apprentissage de la vie. Tantôt marqué par les rencontres qu'il fait, il saisit tout type d'opportunités, ce qui le mène au bout du monde. A ce titre, l'on ressent sensiblement la présence d'Eric Roth dans l'écriture du film – le scénariste de Forrest Gump – tant le déroulement de The Curious Case of Benjamin Button rappelle le film de Robert Zemeckis (un garçon différent qui se voit profondément marqué par les événements (historiques) qu'il vit et les rencontres qu'il fait). Ainsi, certains éléments contextuels renvoient à l'histoire mondiale, comme à la courte participation de Benjamin à la Deuxième Guerre, qui sied parfaitement au ton du film. Par la suite, il assiste continuellement à des événements de la sorte, ce qui s'avère finalement poussif, comme l'est notamment le plan de la navette Appollo 11 décollant dans les cieux en arrière-plan.

Quant au casting, il frôle la perfection. La performance des deux acteurs principaux – Brad Pitt et Cate Blanchett, criants de vérité – alliée aux différents trucages visuels pour tromper leur âge (un savant mélange de maquillages sur le plateau de tournage et d'effets spéciaux en post-production) subjugue le spectateur, éblouit par tant de justesse. Rarement des acteurs ont été capable d'incarner un protagoniste sur plusieurs tranches d'âge et de l'effectuer avec autant de maestria. Une réussite totale. Mais le véritable bouleversement intervient dans la toute dernière partie du film, où Daisy, le personnage qu'incarne Blanchett, à l'âge avancé, s'occupe de Benjamin, l'homme de sa vie, qui est alors devenu un tout jeune bambin. Difficile de rester de marbre face à cette brûlante vague de sentiments qui pénètre au plus profond de notre âme. Voilà ce que peut offrir le cinéma, et il serait bien dommage d'y passer à côté.

(http://www.clap.ch/details.php?srno=1588)

[Basile]

Je recopie ici une critique du Point qui reflète bien ce que je pense de Revolutionary Road.

Avec American Beauty, Sam Mendes signait un portrait au vitriol de la banlieue et de ses vices. Noces rebelles, adaptation du roman culte de Richard Yates, La fenêtre panoramique (qui reparaît chez Robert Laffont), étude au scalpel de la décomposition d’un mariage dans l’Amérique oppressée des années 50, manque d’aisance. Elle se réduit à un découpage en longues scènes de ménage, DiCaprio et Winslet étant dirigés comme si l’homme de théâtre Mendes (il a longtemps dirigé le Donmar Warehouse Theater, à Londres) craignait que le dernier rang rate une réplique. D’où le spectacle inconfortable de deux acteurs réputés pour leur subtilité contraints à surjouer. Les décors sont soignés à l’extrême, les cheveux laqués et les ongles vernis, mais il manque une âme à ces Noces rebelles. Bien qu’adaptée moins directement de l’univers de Yates, la série télévisée Mad Men (sur Canal +) est bien plus incisive dans sa peinture d’une époque de faux-semblants et d’un mariage chaotique.

[Basile]

Suspiria de Dario Argento :

C'est ultra maitrisé, le jeu de lumières est superbe et complètement fou, la musique fait ringarde mais reste résolument efficace. Bref c'est un très grand film, la mise en scène comme la photo arrachent.

Mais qu'est-ce que je me suis fait chier. Ah oui et puis un truc qui m'a bien gâché le visionnage, c'est le décalage son/image, j'ai l'impression que le film a bien été tourné en italien mais ensuite redoublé en studio, ça fait complètement artificiel.

[loval]

la musique fait ringarde

IMMENSE fou stupide.

Mais qu'est-ce que je me suis fait chier.

Ah oui et puis un truc qui m'a bien gâché le visionnage, c'est le décalage son/image, j'ai l'impression que le film a bien été tourné en italien mais ensuite redoublé en studio, ça fait complètement artificiel.

Des acteurs anglais jouaient souvent dans des trucs italiens, alors il n'y avait pas de langue officielle pour le film. D'où les doublages parfois foireux, vu que tu assistes à une "semi-vo".

[Basile]

la musique fait ringarde

IMMENSE fou stupide.

J'ai dit "fait ringarde", pas "est ringarde", andouille d'Helvète

Et elle est bougrement efficace cette bande son, avec les voix chelous par dessus les rythmes syncopés.

Mais qu'est-ce que je me suis fait chier.

Ben ouais chuis pas rentré dedans, j'ai regardé ça derrière une vitre.