Il y a étonnamment des projos en 2D.Comment t'as fais d'ailleurs pour ne pas le voir en relief?
Au MK2 Biblio par exemple. Et à Bercy la séance de 14h est en 2D VF
Il y a étonnamment des projos en 2D.Comment t'as fais d'ailleurs pour ne pas le voir en relief?
Sans parler de la proposition naïve de réunir l'ensemble des spiritualités qui constitue le personnage.Hellboy a écrit :Xid,Xidius a écrit :Mais en quoi y aurait-il de la religion dans cette fin?
Ouais mais on s'en fout au final, c'est surtout, comme ç'a été dit avant, le pouvoir des histoires qui est beau.Sigurd a écrit :Sans parler de la proposition naïve de réunir l'ensemble des spiritualités qui constitue le personnage.Hellboy a écrit :Xid,Xidius a écrit :Mais en quoi y aurait-il de la religion dans cette fin?
C'est chou tout plein. J'en avais d'ailleurs fait une petite critique:Hellboy a écrit :Faut aussi que je vois Poroporo (sûrement une critique du Dimanche en devenir).
Facile de faire abstraction de ce qui nous dérange pour ne garder que ce qui nous convient. En l’occurrence, le film reste un long trip mystico-spirituel-prout-prout.loval a écrit :Ouais mais on s'en fout au final, c'est surtout, comme ç'a été dit avant, le pouvoir des histoires qui est beau.
Le reste on s'en fout.
Looper est donc un film sur les voyages temporels?Sigurd a écrit :Facile de faire abstraction de ce qui nous dérange pour ne garder que ce qui nous convient. En l’occurrence, le film reste un long trip mystico-spirituel-prout-prout.loval a écrit :Ouais mais on s'en fout au final, c'est surtout, comme ç'a été dit avant, le pouvoir des histoires qui est beau.
Le reste on s'en fout.
Provocation à part, j'y repense et je t'explique pourquoi je n'ai aucun problème à en faire abstraction: dans la diégèse, il s'agit d'une personne racontant des histoires (fantaisistes?) à une autre personne, sans intermédiaire. Si l'on relie ce mode de récits à l'instance narrative qui en a le plus, c'est forcément la religion (prends l'étymologie de mythologie). Dans le cas du spectateur, il s'agit déjà d'un récit puisqu'il y a l'intervention d'un médium, le cinéma, qui par essence (ou presque) raconte des histoires. La parabole est quasi-instantanée entre le personnage-orateur et le "méga-narrateur", et entre le personnage-auditeur et le spectateur. Du coup je vois vraiment la présence de la religion dans le récit comme un moyen et non comme une fin; je ne ressens aucune dimension prosélyte. D'ailleurs, est-ce que l'auditeur - qui cherche une source d'inspiration pour, une fois encore, raconter des histoires - a été religieusement converti? Je ne crois pas.loval a écrit :Looper est donc un film sur les voyages temporels?Sigurd a écrit :Facile de faire abstraction de ce qui nous dérange pour ne garder que ce qui nous convient. En l’occurrence, le film reste un long trip mystico-spirituel-prout-prout.loval a écrit :Ouais mais on s'en fout au final, c'est surtout, comme ç'a été dit avant, le pouvoir des histoires qui est beau.
Le reste on s'en fout.
Mec, j'en suis à mon 3ème jour de LAN, j'ai dû dormir moins de 4 heures en autant de temps, donc je salue l'effort, mais là, je ne suis pas en pleine possession des mes moyens pour répondreloval a écrit :
Provocation à part, j'y repense et je t'explique pourquoi je n'ai aucun problème à en faire abstraction: dans la diégèse, il s'agit d'une personne racontant des histoires (fantaisistes?) à une autre personne, sans intermédiaire. Si l'on relie ce mode de récits à l'instance narrative qui en a le plus, c'est forcément la religion (prends l'étymologie de mythologie). Dans le cas du spectateur, il s'agit déjà d'un récit puisqu'il y a l'intervention d'un médium, le cinéma, qui par essence (ou presque) raconte des histoires. La parabole est quasi-instantanée entre le personnage-orateur et le "méga-narrateur", et entre le personnage-auditeur et le spectateur. Du coup je vois vraiment la présence de la religion dans le récit comme un moyen et non comme une fin; je ne ressens aucune dimension prosélyte. D'ailleurs, est-ce que l'auditeur - qui cherche une source d'inspiration pour, une fois encore, raconter des histoires - a été religieusement converti? Je ne crois pas.
Voilà, c'était ma pensée en me levant ce matin.
Comme Bullitt, tout ce que j'aime. [/quote]Xidius a écrit :Après, ça a beau se suivre sans déplaisir, c'est pas non plus la folie furieuse : c'est assez mou du genou par moment
Là-dessus (je te vois venir Hellboy), on est bien d'accord.Xidius a écrit :Rosamund Pike n'a jamais été bonne (dans tous les sens du terme), donc pas de raison qu'elle le soit tout à coup.