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loval a écrit : Le style narratif de Tintin fonctionne en BD, mais sûrement pas au cinéma.

Ben si. Le principe fondateur de la ligne claire, c'est de s'effacer en tant que procédé graphique au profit de l'histoire. La limpidité est primordiale. Bref, c'est tout le cinéma de Spielberg, cette "simplicité" qui rend chaque plan évident.

De la simplicité dans Tintin version Spielberg, vraiment?

Bah oui, y a qu'à voir avec quelle maestria il unit les deux séquences flashback pirates et délire alcoolique dans le fort au Maroc. C'est en permanence limpide.

Il y a une différence entre limpidité et simplicité mon ami.

De même qu'il y a une différence entre "simple" et "simpliste". Et au passage, l'économie de cuts que permet la perf' cap débouche bien sur un découpage plus "simple".

Vous parliez de quelques incohérences (port à Buxelles etc...)

Moi j'aimerais bien savoir par quel loi physique il explique qu'un liquide en vienne à flotter dans un avion.

Ca s'appelle le vol parabolique. Ca simule l'apesanteur.

Auquel on rajoute ça.

J'avais noté la référence à On a marché sur la Lune. Mais dans leur fusée, il n'y pas de gravité.

Mais pour le vol parabolique, je ne suis pas si sûr qu'ils remplissent les conditions pour correspondre à la définition.
Après une recherche sur wikipédia, pour ce que ça vaut : Il faut un pilotage fin qui nécessite deux pilotes, chacun commandant un axe différent.


Comment ça je cherche la petite bête ? Non mais sérieusement ça m'a interpellé pendant le film.

en même temps c'est tintin, pas un documentaire de la nasa... Pas besoin de chercher d'explications scientifiques...