Concernant Star Wars épisode VII il est à noter que lors de la première apparition du leader Snoke la musique en fond est similaire celle que l'on entend en fond dans l'épisode III lors de la scène de l'opéra dans laquelle Palpatine raconte la légende de Dark Plagueis.
Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Et Wikipédia me dit
Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Et Rey serait...
Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Selon qui/quoi/quel indice ?cloneweb a écrit :Et Rey serait...
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Selon mes potes et de l'alcool
Plus sérieusement, Alec Guinness, Ewan McGregor et Frank Oz sont dans le film
http://www.starwars-universe.com/actu-1 ... force.html
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Vu aujourd'hui en famille et on a bien apprécié malgré les ressemblances et invraisemblances inhérentes à la saga
J'aime beaucoup les nouveaux personnages, à part le Top chef méchant en carton pâte (la preuve :
En ce qui concerne vos spéculations :
J'ai les mêmes questionnements que crazy concernant exactement le rôle de la république et pourquoi la résistance s'appelle "la résistance" ? Ils ont gagné, non ? c'est donc le nouvel ordre qui devrait être "la résistance", pour s'opposer à la "domination" de l'alliance rebelle.
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Je crois que Cloneweb la plus ou moins dit, mais visiblement il faut savoir lire pour comprendre tous les fondements du truc, mais c'est pas donné à tout le monde. La plus part des réponses sont dans Aftermath, le premier bouquin "canon" à l'univers. http://fr.starwars.wikia.com/wiki/RiposteHellboy a écrit :J'ai les mêmes questionnements que crazy concernant exactement le rôle de la république et pourquoi la résistance s'appelle "la résistance" ? Ils ont gagné, non ? c'est donc le nouvel ordre qui devrait être "la résistance", pour s'opposer à la "domination" de l'alliance rebelle.
Je crois que je l'ai déjà dit, mais le plus gros soucis du film, c'est qu'il ne fonctionne pas tout seul, contrairement au IV. Si t'as pas les antécédents filmique en référence tu passes à côté de pas mal de chose, et si en plus t'as pas lu les 3 nouveaux pavés avant de voir le film, tu ne saisiras pas toute la politique autour du sujet.
Je me laisse espérer que la trilogie fonctionnera comme un tout solide, mais c'est dommage d'être dans le film puzzle puisque le plaisir est là quand même, bien que plombé par pas mal de frustration...
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Exact. En même temps, si tu vas voir un film qui porte le numéro 7, faut pas trop se leurrer.crazyguy a écrit : Je crois que je l'ai déjà dit, mais le plus gros soucis du film, c'est qu'il ne fonctionne pas tout seul, contrairement au IV.
Ah oui, ya quand même un petit truc qui m'a dérangé, c'est le jeunisme général du nouveau casting. Ok pour Rey et Finn mais pour le reste, c'est un peu exagéré (par exemple dans la base de la résistance, Leia est entourée de gamins) Mais le plus flagrant c'est pour
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Hellboy a écrit : Ah oui, ya quand même un petit truc qui m'a dérangé, c'est le jeunisme général du nouveau casting. Ok pour Rey et Finn mais pour le reste, c'est un peu exagéré (par exemple dans la base de la résistance, Leia est entourée de gamins) Mais le plus flagrant c'est pour
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Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
J.J Abrams "l'éponge" est de retour et après avoir repompé des scènes entières de ses Spielberg préférés pour Super 8, ou de Star Wars pour Star Trek, il fallait pas s'attendre à voir un truc 100% inédit pour son Star Wars, le vrai, celui avec des sabres lasers et tout l'attirail qui va avec.
En cela, voir que le film est un remake déguisé de l'original n'a finalement rien de surprenant, la félicité d'Abrams semblant être là pour faire passer la pilule et carrément la justifier.
C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes après tout... Non?
Tel un élève supra consciencieux, J.J offre un spectacle pas désagréable, avec un rythme suffisamment soutenu pour éviter qu'on regarde notre montre, et fait jouer la fibre nostalgique à plein régime, le bougre débordant d'enthousiasme quand il est question de faire joujou avec toutes ces figures iconiques qui ont marqué l'inconscient collectif depuis 30 ans.
En cela, il remplit toutes les cases du parfait cahier des charges pour tous les fanboys du monde, qui sont forcément en transe à l'idée de revoir le Faucon Millenium, des sabres lasers ou une planète qui ressemble comme deux grains de sable à Tatooine, même si, attention, c'est pas Tatooine les gars!
Et c'est précisément là où le bât blesse : Incapable d'avancer sans perdre de vue son rétroviseur, Abrams et les scénaristes livrent une oeuvre prévisible dès sa première scène, où chaque intrigue, chaque rebondissement et chaque péripétie tient du déjà vu. On essai de noyer le poisson comme on peut : R2D2 est devenu un ballon, l'étoile noire est désormais une planète et Luke Skywalker est remplacé par la nouvelle Keira Knightley, excellente au demeurant.
D'ailleurs, on voit avec elle et John Boyega l'envie d'être moderne et dans le coup : à l'heure du vivre ensemble et du féminisme, ca fait forcément bien. Cela dit, ils auraient mis un nain et un martien à la place ou un duo latino/russe que ca n'aurait pas changé grand chose tant l'écriture se maintient à des archétypes n'exploitant pas la nature des acteurs.
Et d'ailleurs, la dite écriture n'ose à vrai dire rien qui sorte des sentiers battus : la grande révélation géniale de l'Empire Contre Attaque est devenue un gimmick où quasi chaque personnage important est le fils ou la fille d'untel, tout comme on dézingue un personnage vite fait bien fait parce que ca fait toujours son petit effet. De là à mettre ça en scène correctement, c'est une autre affaire : la mise en place de la dite scène crie son issue à des kilomètres et une fois la chose faite on passe à autre chose parce qu'il faut que ca avance ! Ainsi Abrams se plante comme bon nombre de ses collègues : Les choses prennent du souffle et de l'ampleur quand on prend le temps de les poser et de les traiter avec soin.
Ici, tout va vite pour être trépidant, et finalement rien ne marque vraiment, l'entreprise reposant sur des questions en suspend à tout va pour s'assurer qu'on reviendra pour le prochain.
Et dans cette quête référentielle tout en déférence, Abrams oublie le principal en route. Bien sûr, Star Wars et son mythe sont basés sur des personnage forts et c'est sympa de les revoir, tout comme son imagerie. Mais justement, la chose qui faisait de Star Wars une saga vraiment unique et à part, c'était cette imagerie folle qui n'avait de cesse de nous étonner et de pondre toutes les 20 minutes un élément d'univers étonnant. Pour avoir fait découvrir la trilogie originale récemment à ma douce, j'ai pu observer combien ca marche encore et la façon avec laquelle l'univers n'a de cesse de surprendre avec ses trouvailles successives. Or ici, rien de nouveau.
On est en terrain connu, on a éventuellement des figures célèbres un peu rafraîchies esthétiquement mais quand il est question de retrouver la découverte et l'approfondissement grisant de tout ca, que dalle! C'est le risque zéro, on ne quitte pas une seule seconde sa zone de confort et on complaît le spectateur en lui disant perpétuellement "t'as vu comme c'est cool Star Wars?".
La seule chose un tant soit peu inédite c'est la scène avec des monstres tentaculaires dans un vaisseau, et c'est l'unique moment où j'ai pu me satisfaire d'un truc différent de d'habitude.
Même la prélogie, aussi mal écrite et insupportable soit elle, avait le mérite de renouveler l'imaginaire de Star Wars, avec sa cité sous marine des Gungans, ses courses de pod, Coruscant, la planète de flotte du 2, celle de Grevious dans le 3, etc...
On perd donc l'une des caractéristiques les plus marquantes de la saga, ce qui la rendait constamment fraiche et excitante. Et par conséquence, ce qui était une grande épopée mythologique avec un début, un milieu et une fin (une histoire en bonne et due forme donc), se trouve désormais sérialisée, avec comme seul enjeu de savoir qui est le prochain grand méchant et quel est son lien avec les personnages. La puissance mythologique en prend un coup tant Abrams n'y apporte rien, ne faisant que répéter des scories thématiques dans une énième version.
Après coup, Abrams me fait un peu penser au méchant assez naze de cet épisode, une sorte d'ado rebelle emo tellement fan de Dark Vador qu'il en vient à porter un cosplay tout moche pour faire pareil. Trop anxieux qu'il est pour comprendre ce qui a fait la grandeur de son modèle, il en recalque le parcours sans avoir appris les erreurs du passé et se complaît dans la ressemblance illusoire. Bon, d'un autre côté, le pauvre n'a aucun charisme dès qu'il montre sa tête de prépubère mal dégrossi, donc je ne sais pas ce qui est le pire, mais toujours est-il qu'en voulant complexifier la figure du méchant, Abrams donne juste de la poudre aux yeux et perd toute la fascination qu'on pouvait avoir pour une icône monolithique comme Vador, dont les traumas étaient passionnants parce que gardés sous silence et donc mystérieux. La Nolanisation du cinéma américain, avec de la psychologie bas du front explicitée à outrance pour faire illusion, a encore de beaux jours devant elle...
Au final, tout ca est un peu à l'image de l'un des rares reproches que subit le film de toute part, les gens trouvant que John Williams n'a rien amené de nouveau à la musique si emblématique de la saga, chose qu'il avait pourtant su faire sur la prélogie (Ahhhh Duel of the Fates...).
Étant donné qu'il n'y a fondamentalement rien de nouveau sous les nombreux soleils de la galaxie, comment voulez-vous que Williams, aussi génial soit-il, apporte quoi que ce soit de nouveau à l'édifice quand Abrams ne le fait pas?
Alors oui, la musique est loin d'être dégueu, seulement ça fait 30 ans qu'on la connait, et par coeur qui plus est.
Autant dire que pour une franchise qui s'est fait le plus grand nom de l'histoire du 7ème art à la seule force de son imaginaire fougueux et de son audace perpétuelle, tout ça est bien insignifiant.
En cela, voir que le film est un remake déguisé de l'original n'a finalement rien de surprenant, la félicité d'Abrams semblant être là pour faire passer la pilule et carrément la justifier.
C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes après tout... Non?
Tel un élève supra consciencieux, J.J offre un spectacle pas désagréable, avec un rythme suffisamment soutenu pour éviter qu'on regarde notre montre, et fait jouer la fibre nostalgique à plein régime, le bougre débordant d'enthousiasme quand il est question de faire joujou avec toutes ces figures iconiques qui ont marqué l'inconscient collectif depuis 30 ans.
En cela, il remplit toutes les cases du parfait cahier des charges pour tous les fanboys du monde, qui sont forcément en transe à l'idée de revoir le Faucon Millenium, des sabres lasers ou une planète qui ressemble comme deux grains de sable à Tatooine, même si, attention, c'est pas Tatooine les gars!
Et c'est précisément là où le bât blesse : Incapable d'avancer sans perdre de vue son rétroviseur, Abrams et les scénaristes livrent une oeuvre prévisible dès sa première scène, où chaque intrigue, chaque rebondissement et chaque péripétie tient du déjà vu. On essai de noyer le poisson comme on peut : R2D2 est devenu un ballon, l'étoile noire est désormais une planète et Luke Skywalker est remplacé par la nouvelle Keira Knightley, excellente au demeurant.
D'ailleurs, on voit avec elle et John Boyega l'envie d'être moderne et dans le coup : à l'heure du vivre ensemble et du féminisme, ca fait forcément bien. Cela dit, ils auraient mis un nain et un martien à la place ou un duo latino/russe que ca n'aurait pas changé grand chose tant l'écriture se maintient à des archétypes n'exploitant pas la nature des acteurs.
Et d'ailleurs, la dite écriture n'ose à vrai dire rien qui sorte des sentiers battus : la grande révélation géniale de l'Empire Contre Attaque est devenue un gimmick où quasi chaque personnage important est le fils ou la fille d'untel, tout comme on dézingue un personnage vite fait bien fait parce que ca fait toujours son petit effet. De là à mettre ça en scène correctement, c'est une autre affaire : la mise en place de la dite scène crie son issue à des kilomètres et une fois la chose faite on passe à autre chose parce qu'il faut que ca avance ! Ainsi Abrams se plante comme bon nombre de ses collègues : Les choses prennent du souffle et de l'ampleur quand on prend le temps de les poser et de les traiter avec soin.
Ici, tout va vite pour être trépidant, et finalement rien ne marque vraiment, l'entreprise reposant sur des questions en suspend à tout va pour s'assurer qu'on reviendra pour le prochain.
Et dans cette quête référentielle tout en déférence, Abrams oublie le principal en route. Bien sûr, Star Wars et son mythe sont basés sur des personnage forts et c'est sympa de les revoir, tout comme son imagerie. Mais justement, la chose qui faisait de Star Wars une saga vraiment unique et à part, c'était cette imagerie folle qui n'avait de cesse de nous étonner et de pondre toutes les 20 minutes un élément d'univers étonnant. Pour avoir fait découvrir la trilogie originale récemment à ma douce, j'ai pu observer combien ca marche encore et la façon avec laquelle l'univers n'a de cesse de surprendre avec ses trouvailles successives. Or ici, rien de nouveau.
On est en terrain connu, on a éventuellement des figures célèbres un peu rafraîchies esthétiquement mais quand il est question de retrouver la découverte et l'approfondissement grisant de tout ca, que dalle! C'est le risque zéro, on ne quitte pas une seule seconde sa zone de confort et on complaît le spectateur en lui disant perpétuellement "t'as vu comme c'est cool Star Wars?".
La seule chose un tant soit peu inédite c'est la scène avec des monstres tentaculaires dans un vaisseau, et c'est l'unique moment où j'ai pu me satisfaire d'un truc différent de d'habitude.
Même la prélogie, aussi mal écrite et insupportable soit elle, avait le mérite de renouveler l'imaginaire de Star Wars, avec sa cité sous marine des Gungans, ses courses de pod, Coruscant, la planète de flotte du 2, celle de Grevious dans le 3, etc...
On perd donc l'une des caractéristiques les plus marquantes de la saga, ce qui la rendait constamment fraiche et excitante. Et par conséquence, ce qui était une grande épopée mythologique avec un début, un milieu et une fin (une histoire en bonne et due forme donc), se trouve désormais sérialisée, avec comme seul enjeu de savoir qui est le prochain grand méchant et quel est son lien avec les personnages. La puissance mythologique en prend un coup tant Abrams n'y apporte rien, ne faisant que répéter des scories thématiques dans une énième version.
Après coup, Abrams me fait un peu penser au méchant assez naze de cet épisode, une sorte d'ado rebelle emo tellement fan de Dark Vador qu'il en vient à porter un cosplay tout moche pour faire pareil. Trop anxieux qu'il est pour comprendre ce qui a fait la grandeur de son modèle, il en recalque le parcours sans avoir appris les erreurs du passé et se complaît dans la ressemblance illusoire. Bon, d'un autre côté, le pauvre n'a aucun charisme dès qu'il montre sa tête de prépubère mal dégrossi, donc je ne sais pas ce qui est le pire, mais toujours est-il qu'en voulant complexifier la figure du méchant, Abrams donne juste de la poudre aux yeux et perd toute la fascination qu'on pouvait avoir pour une icône monolithique comme Vador, dont les traumas étaient passionnants parce que gardés sous silence et donc mystérieux. La Nolanisation du cinéma américain, avec de la psychologie bas du front explicitée à outrance pour faire illusion, a encore de beaux jours devant elle...
Au final, tout ca est un peu à l'image de l'un des rares reproches que subit le film de toute part, les gens trouvant que John Williams n'a rien amené de nouveau à la musique si emblématique de la saga, chose qu'il avait pourtant su faire sur la prélogie (Ahhhh Duel of the Fates...).
Étant donné qu'il n'y a fondamentalement rien de nouveau sous les nombreux soleils de la galaxie, comment voulez-vous que Williams, aussi génial soit-il, apporte quoi que ce soit de nouveau à l'édifice quand Abrams ne le fait pas?
Alors oui, la musique est loin d'être dégueu, seulement ça fait 30 ans qu'on la connait, et par coeur qui plus est.
Autant dire que pour une franchise qui s'est fait le plus grand nom de l'histoire du 7ème art à la seule force de son imaginaire fougueux et de son audace perpétuelle, tout ça est bien insignifiant.
Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
J'ai trouvé ça affligeant.
Brave comme les lions de l'Atlas, il vit un rêve glorieux.
- Ryujii
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- Enregistré le : jeu. sept. 11, 2008 1:12 pm
- Localisation : Pont sainte maxence (60)
Re: Star Wars Le Réveil de la Force (2015)
Bah faut pas oublier que par rapport à l'épisode III, Luke et Leia n'ont que 50 ans dans l'épisode VII. Et vu qu'il se passe 30 ans entre l'ép VI et VII, pour le coup c'est plutôt cohérent non?Hellboy a écrit :
Tu as posé les mots juste sur ce que je me tue à dire depuis mercredi.Xidius a écrit :Critique de Xi²
Quand je vois des crétins qui ose dire que "les vrai fans" aime Star Wars VII car c'est le meilleur film de la franchise.... envie de mettre des baffes envers ceux-là.
être fan c'est une chose mais le fanboyisme aveugle n'apporte rien sur ce film.
De mon côté ça puait tellement le plagiat que je ne suis jamais rentré dans le film. Comment s'intéresser à un film quand on l'a déjà vu des dizaines de fois? Même les pseudo révélations envoyées au bout de 20 min. Forcément il y en a un qui avait un Death Flag sur la tête tout le long du film à partir de là. Tout était trop prévisible car pompé sur un film archie connu.
Bref pas besoin de m'éterniser dessus. Que la photo soit belle, que le casting soit bon ok mais la trame est un copié/collé. Je voulais de l'innovation, de la nouveauté. Si je voulais revoir l'épisode IV j'avais juste à mettre mon DVD, pas besoin d'aller au ciné pour ça.